Achetezle design « À la mĂ©moire de mon pĂšre vĂ©tĂ©rinaire de la guerre du Vietnam, cadeau pour pĂšre et grand-pĂšre » par soufianABH sur le produit suivant : Tablier Vendez vos Ɠuvres Connectez-vous Inscrivez-vous 403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID -5xg_Oq2IpQc8dP7qA4Rd7HGNEqafZ2YuSUY8rm6iK2cP6vdeIav5Q== Honneurmon dĂ©funt pĂšre, mon pĂšre tuteur, ma mĂšre, ma femme et toute ma famille petits et grands; Mes professeurs; Mes amis. 1. Avant de dĂ©velopper ce rapport de stage, je tiens Ă  remercier un certain nombre de personnes qui m'ont aidĂ© durant ce stage d'un mois. Je tiens Ă  remercier tout particuliĂšrement Mr Ahmed ALLAOUI, Directeur RĂ©gional de l'ONE Marrakech Nous accueillons aujourd’hui sur le blog Entre nous et nos AncĂȘtres AndrĂ© PERRET. Il nous a fait le rĂ©cit de la vie d’un de ses ancĂȘtres, qui nous a particuliĂšrement touchĂ©s. Cette histoire est effet celle de bien des hommes et femmes du XXe siĂšcle, marquĂ©e, comme rythmĂ©e par les deux Guerres mondiales. Elle est surtout un exemple de ces lĂ©gendes, rumeurs et on-dit si frĂ©quents dans nos familles, mais ici particuliĂšrement tragiques. Et cette histoire, nous souhaitons la partager avec vous. Mais laissons d’abord AndrĂ© se prĂ©senter. Entre nous et nos AncĂȘtres pouvez-vous nous dire quelques mots sur vous, et ce qui vous a amenĂ© Ă  vous intĂ©resser Ă  l’histoire de votre famille et Ă  la gĂ©nĂ©alogie ? AndrĂ© J’ai 61 ans cette annĂ©e, je dirige une sociĂ©tĂ© de formation au management sur Paris. J’ai 4 enfants, et je supportais assez mal d’avoir des trous » dans l’histoire de la famille, d’autant qu’ils Ă©taient assez rĂ©cents. C’est en cherchant Ă  combler ces lacunes que je me suis pris au jeu et que je suis remontĂ© en parfait amateur au XVIIe siĂšcle
 Cela devient vite une addiction ! Entre nous et nos AncĂȘtres quel personnage familial souhaitez-vous Ă©voquer aujourd’hui, et qu’est-ce qui vous a amenĂ© Ă  vous intĂ©resser Ă  lui ? AndrĂ© Il s’agit de Jean-Baptiste Louis PERRET, mon grand-pĂšre paternel, que je n’ai pas connu. TrĂšs tĂŽt, ce personnage m’a interpellĂ©, malgrĂ© le peu d’informations dont je disposais sur lui – ou peut-ĂȘtre justement Ă  cause de ce silence qui l’entourait dans la famille. Et certainement aussi par provocation. Ce grand-pĂšre, dont on disait qu’il Ă©tait volage, me faisait rĂȘver
 Laissons maintenant AndrĂ© nous conter l’histoire de Jean-Baptiste Louis PERRET. Longtemps, je n’ai possĂ©dĂ© qu’une photo de ce grand-pĂšre dont personne ne voulait parler dans la famille. Par ma mĂšre, je savais qu’il Ă©tait sĂ©duisant, et que les petites Caminelle » en Ă©taient amoureuses ». Et par ses fils, Pierre l’aĂźnĂ©, mon pĂšre, et Jean le cadet, j’ai appris qu’il avait abandonnĂ© sa famille pendant la guerre, alors mĂȘme qu’eux deux Ă©taient prisonniers. Deux fils qui ne lui ont jamais pardonnĂ©. Pourtant, je ne peux nier mon attachement Ă  ce grand-pĂšre fantasque, qu’on a volontiers dit volage. Voici en quelques mots son portrait. Jean-Baptiste Louis PERRET, rĂ©ussite sociale et dĂ©chĂ©ance familiale Jean-Baptiste Louis PERRET, dit Louis, naĂźt le 11 juillet 1887 Ă  Besson dans l’Allier ; il est issu d’un milieu agricole modeste. Sa naissance dĂ©jĂ  suscite des rumeurs familiales » on dit qu’il serait peut-ĂȘtre le fils du curĂ© du village
 Il obtient en 1908 Ă  Montpellier le diplĂŽme d’IngĂ©nieur agronome, tremplin d’une rĂ©elle ascendance sociale. Il entame ensuite une carriĂšre d’enseignant dans des Ă©tablissements agricoles, en Bourgogne puis dans le Nivernais. Il Ă©pouse en 1911 Ă  Cusset Allier ma grand-mĂšre Yvonne VIGNOT. De cette union naĂźtront Pierre 1912, Jeanne 1914 et Jean 1915. Mais dĂ©jĂ , les canons grondent, et Jean-Baptiste Louis est mobilisĂ© dĂšs 1914. En 1918, il disparaĂźt. Une premiĂšre fois. Je perds ensuite sa trace, jusqu’au milieu des annĂ©es 1930, pĂ©riode Ă  laquelle il s’installe avec sa famille Ă  Namur en Belgique. Il prend alors la direction de la sociĂ©tĂ© Hydrocar, un fabricant de revĂȘtement routier sociĂ©tĂ© qui existe toujours. S’en suivra une brĂšve collaboration avec ses deux fils, qu’il fait venir Ă  Namur. Mais Pierre et Jean peinent Ă  s’entendre avec leur pĂšre, et repartent en France. En 1914, Jean-Baptiste Louis est mobilisĂ© comme caporal-fourrier au 295Ăšme RĂ©giment d’Infanterie. PortĂ© disparu Ă  Cuvilly Oise aprĂšs l’offensive allemande du 9 juin 1918, il est retrouvĂ© prisonnier en Allemagne oĂč il est passĂ© par les camps de Kassel, Crossen-sur-Oder et Cottbus. Il est rapatriĂ© aprĂšs l’Armistice le 20 dĂ©cembre 1918. Jean-Baptiste Louis est quant Ă  lui la coqueluche des filles de la famille, qu’il charme par son train de vie, sa voiture, les cadeaux qu’il leur offre
 Cette parenthĂšse belge sera importante pour la postĂ©ritĂ© familiale, puisque c’est Ă  Namur que Pierre, mon pĂšre, rencontre celle qui allait devenir sa femme. Suzanne est la fille d’Édouard CAMINELLE, banquier de Jean- Baptiste Louis et de la sociĂ©tĂ© Hydrocar. En 1940, alors que les Allemands entrent en Belgique, Jean-Baptiste Louis dĂ©cide de rapatrier tout sa famille en Zone Libre, Ă  Cusset prĂšs de Vichy. Sa motivation – dit-on – Ă©tait alors de mettre la trĂ©sorerie de l’entreprise Ă  l’abri des Allemands. Je ne dispose pas d’informations sur sa vie pendant la guerre, mais Ă  cette Ă©poque on le dit assez volage. À la fin de la guerre en 1945, Jean-Baptiste Louis ne rejoint pas la maison familiale, laissant sa femme seule, alors que ses deux fils sont prisonniers en Allemagne. La rumeur familiale dit qu’il vivrait avec une jeune pharmacienne namuroise, et qu’il voudrait partir Ă  l’étranger
 DeuxiĂšme disparition. Quelques annĂ©es plus tard, lors de l’entrĂ©e en maison de retraite d’Yvonne ma grand-mĂšre, il a fallu vendre la maison familiale de Cusset. LĂ , j’ai dĂ©couvert qu’ils n’avaient jamais divorcĂ© ! Nous avons donc Ă©tĂ© dans l’obligation de faire une requĂȘte en sĂ©paration suite Ă  abandon du domicile conjugal. L’officialisation de la dĂ©chĂ©ance familiale de Jean-Baptiste Louis PERRET. Mais un Ă©change avec un ami dont l’épouse est gĂ©nĂ©alogiste va faire taire toutes les anciennes rumeurs familiales. Je lui parle de ce grand-pĂšre disparu et dont je ne trouve pas trace, et il me propose de lui communiquer Ă  tout hasard les informations dont je dispose, ses date et lieu de naissance. Le soir mĂȘme il m’appelle et me dit que je vais avoir des surprises, en Ă©coutant le rĂ©cit de sa femme
 Jean-Baptiste Louis PERRET, dĂ©portĂ© dans le convoi des tatouĂ©s » Les baraques du camp de Royallieu Jean-Baptiste Louis est arrĂȘtĂ© par les Allemands au mois de janvier 1944. Sans doute faisait-il partie du Mouvement de LibĂ©ration Nationale MLN. En avril, il est Ă  CompiĂšgne, au camp de Royallieu, sous le matricule 29603. Le 27 avril 1944, il est dĂ©portĂ© vers Auschwitz dans un convoi Ă  100 par wagon Ă  bestiaux. Le train mettra quatre jours et trois nuits Ă  atteindre sa destination. Ce convoi a suscitĂ© les interrogations des historiens notamment concernant sa destination, parce qu’il s’agit du troisiĂšme convoi de dĂ©portĂ©s non-juifs envoyĂ©s directement vers ce camp de la mort. Il restera tristement cĂ©lĂšbre, sous le nom de Convoi des TatouĂ©s ». Jean-Baptiste Louis fait donc parti des 1655 dĂ©tenus qui seront immatriculĂ©s Ă  leur arrivĂ©e Ă  Auschwitz-Birkenau, des numĂ©ros 184936 Ă  186590. Lui portait le numĂ©ro 186203. C’est ce tatouage, sur le bras gauche, qui vaudra au convoi son appellation. Jean-Baptiste Louis ne sĂ©journera que deux semaines Ă  Auschwitz, dans le camp Canada », avec sans doute, aprĂšs l’humiliation du tatouage, de la fouille, de la tonte et de la dĂ©sinfection
, de terribles conditions de vie – l’administration allemande effacera » d’ailleurs ce transit, comme s’il n’avait existĂ©. Le 12 mai, avec 1560 autres dĂ©portĂ©s et Ă  60 par wagon, il repart dans un nouveau convoi vers le KL Buchenwald cette fois, Ă  une dizaine de kilomĂštres de Weimar. Il y reçoit un nouveau matricule, le 53345. Vue d'ensemble du petit camp de Buchenwald - collection Foucher-Creteau Insignes des prisonniers du KL de Buchenwald - matricule de Pierre MALLEZ Contrairement Ă  d’autres dĂ©portĂ©s renvoyĂ©s ensuite dans d’autres camps, aprĂšs son passage au camp de quarantaine il monte au grand camp. Il reste au camp central sans doute en raison de son Ăąge, 57 ans alors. Il semble en effet que la plupart des dĂ©portĂ©s ĂągĂ©s ou diminuĂ©s physiquement n’aient pas Ă©tĂ© envoyĂ©s dans les Kommandos de travail. Je ne sais pourquoi ni comment il a survĂ©cu jusqu’à ce dĂ©but d’annĂ©e 1945. Je ne peux qu’imaginer son quotidien difficile. Les renseignements fournis par l’association pour la mĂ©moire de Buchenwald laissent entendre qu’il aurait Ă©tĂ© fusillĂ©. Du Convoi des TatouĂ©s, Ă  peine un homme sur deux rentrera de dĂ©portation. Mon grand-pĂšre ne fait pas partie de ceux-lĂ . Selon le livre mĂ©morial de la Fondation pour la MĂ©moire de la DĂ©portation, Jean-Baptiste Louis PERRET dĂ©cĂšde le 24 fĂ©vrier 1945 Ă  Buchenwald. Son dĂ©cĂšs n’est transcrit ni Ă  l’État-Civil de Besson son village natal oĂč je l’ai cherchĂ© en vain, ni au Journal Officiel de la RĂ©publique française. Mais son nom apparaĂźt depuis 2010 sur une plaque commĂ©morative posĂ©e en mĂ©moire des dĂ©portĂ©s de la commune de Besson Allier. D’aprĂšs le rĂ©cit d’AndrĂ© PERRET, fils de Pierre, et petit-fils de Jean-Baptiste Louis. Entre nous et nos AncĂȘtres Quelle a Ă©tĂ© votre rĂ©action Ă  cette dĂ©couverte, qui met fin aux rumeurs familiales autour de l’abandon de sa famille par un Ă©poux et pĂšre ? AndrĂ© Un regret que ni son Ă©pouse, ni aucun de ses enfants – dont mon pĂšre – n’aient su la vĂ©ritĂ© avant de mourir. Un regret doublĂ© d’incomprĂ©hension
 Pourquoi sa famille n’a-t-elle jamais Ă©tĂ© informĂ©e ni de son arrestation ni de son dĂ©cĂšs, et notamment aprĂšs la libĂ©ration du camp ? Pourquoi sa femme, qui travaillait pour le gouvernement de Vichy mais dont on a su aprĂšs sa mort qu’elle transmettait des documents Ă  Londres, n’a-t-elle jamais Ă©tĂ© informĂ©e ? Entre nous et nos AncĂȘtres Cette dĂ©couverte met-elle fin Ă  vos recherches ? AndrĂ© Non. La vie peu banale de ce grand-pĂšre quitte la petite histoire pour la grande ; je voudrais donc maintenant en dĂ©couvrir plus sur son parcours atypique. Et je me pose de nombreuses questions. Il me manque des informations sur son parcours professionnel, et donc la motivation de son expatriation en Belgique. Puis, pendant la guerre, quel a Ă©tĂ© son engagement dans la rĂ©sistance ? Pourquoi le statut de dĂ©portĂ© ne lui est pas attribuĂ© par les autoritĂ©s françaises ? Sur une photo, on semble apercevoir l’Ordre du MĂ©rite Ă  son revers, Ă  quelle occasion cette distinction lui aurait-elle Ă©tĂ© attribuĂ©e ? Je vais donc continuer Ă  arpenter les ministĂšres et fouiller les archives sur les traces de Jean-Baptiste Louis PERRET. Si vous souhaitez rĂ©agir Ă  cette histoire, ou contacter AndrĂ©, n’hĂ©sitez pas Ă  laisser un commentaire ou nous contacter Ă  admin[Ă ] Nous lui transmettrons votre message. Biographie et arbre gĂ©nĂ©alogique de Jean-Baptiste Louis PERRET 1887-1945 Enfance auvergnate, Ă©tudes dans le sud et ascension sociale 11/07/1887 Naissance dans la maison familiale aux Rouyaux, dans la commune de Besson, Allier 03. Ses parents sont Jean, et Louise nĂ©e SÈQUE, cultivateurs. 12/05/1908 Études supĂ©rieures, Ă  l’École Nationale d’Agriculture de Montpellier. Obtient le diplĂŽme d’IngĂ©nieur agronome en 1908. 1911 Professeur de français en Bourgogne Ă  l’école d’agriculture La Barotte », ChĂątillon-sur-Seine 21. [source Recensement 1911] Un mariage et deux enfants 12/09/1911 Épouse Yvonne Gilberte VIGNOT Ă  Cusset 03. 16/06/1912 Naissance d’un premier fils, Pierre, Ă  Cusset 03. 1913-1915 Professeur dans le Nivernais, Ă  l’École d’agriculture de Corbigny 58. 1914 Vend des assurances pour la SociĂ©tĂ© Française de Capitalisation. 07/01/1914 Naissance de sa fille Jeanne, dite Jeannette, Ă  Cusset 03. Dans la Grande Guerre, premiĂšre disparition et deuxiĂšme fils 1914 MobilisĂ© comme Caporal-fourrier au 295Ăšme RĂ©giment d’Infanterie. 04/03/1915 Naissance, en son absence, d’un second fils, Jean, Ă  Cusset 03. 09/06/1918 PortĂ© disparu Ă  Cuvilly 60 aprĂšs l’offensive allemande. Il est retrouvĂ© prisonnier en Allemagne oĂč il est passĂ© par les camps de Kassel, Crossen-sur-Oder et Cottbus. 20/12/1918 Il est rapatriĂ©, aprĂšs l’Armistice. L’expatriation en Belgique 1936 Part en Belgique, prĂšs de Namur, oĂč il prend la direction de la sociĂ©tĂ© Hydrocar. Marie son fils ainĂ© Pierre Ă  Suzanne CAMINELLE, fille du banquier de l’entreprise, et sa fille Jeannette Ă  Édouard, fils du mĂȘme banquier. 1938 Touche la retraite du combattant. Encore une guerre, deuxiĂšme disparition en fait la dĂ©portation 1940 Rapatrie toute la famille Ă  Cusset prĂšs de Vichy 03, en Zone Libre. 1940-1944 Appartient peut-ĂȘtre au Mouvement de LibĂ©ration Nationale MLN. 01/1944 Est arrĂȘtĂ©, puis internĂ© Ă  CompiĂšgne au camp de Royallieu, sous le matricule 29603. [source BAVCC] 27/04/1944 DĂ©portation vers Auschwitz, dans un convoi qui sera plus tard nommĂ© le train des tatouĂ©s », arrivĂ©e le 30/04/1944. Il est tatouĂ© sur l’avant-bras gauche du numĂ©ro 186203. 14/05/1944 DĂ©part le 12/05 dans un convoi avec 1561 dĂ©portĂ©s, en direction de Buchenwald, oĂč il arrive le 14 au matin. DĂ©sinfection puis tatouage. Jean-Baptiste Louis portera le numĂ©ro 53345. 24/02/1945 Mort Ă  l’ñge de 57 ans de Jean-Baptiste Louis Ă  Buchenwald [source Livre mĂ©morial de la Fondation pour la MĂ©moire de la DĂ©portation], sans doute fusillĂ© [source Association pour la MĂ©moire de Buchenwald]. Arbre gĂ©nĂ©alogique partiel de Jean-Baptiste Louis PERRET 1887-1945 Cliquez sur l’arbre pour l’agrandir. Quelques liens Fondation pour la MĂ©moire de la DĂ©portation Amis de la Fondation pour la MĂ©moire de la DĂ©portation de l’Allier Amicale des DĂ©portĂ©s TatouĂ©s du 27 avril 1944 MĂ©morial de l’internement et de la dĂ©portation – Camp de Royallieu La citation Celui qui est affectionnĂ© pour quelqu’un vĂ©nĂšre aussi les choses que cette personne a laissĂ©es d’elle-mĂȘme aprĂšs sa mort » Saint-Thomas d’Aquin Vous serez peut-ĂȘtre aussi intĂ©ressĂ©e par les articles suivants
isde dicated to the memory of my grandfather Robert. thomas.quinot.org. thomas.quinot.org. M a mémoire la p lus vive de San Juan Capistrano était toute l'écriture au crayon griffonnée partout sur les murs de la chap elle : «Sa uvez mon grand-pÚre du c ancer. urantia-uai.org.
Des bateaux Ă  l’ancre, un froid polaire et un beau soleil
 En ce matin glacĂ© de janvier, le lieu oĂč RĂ©mi ChayĂ© donne ses interviews a des airs de dĂ©cor maritime de Tout en haut du monde, son merveilleux film d’animation, qui sort demain dans toutes les bonnes yeux cernĂ©s, le cinĂ©aste semble un rien fatiguĂ© et un peu inquiet. Ce film, rĂ©cit initiatique dans lequel une jeune fille de l’aristocratie russe du XIXe siĂšcle part vers le pĂŽle Nord Ă  la recherche de son grand-pĂšre explorateur, RĂ©mi ChayĂ© le porte depuis dix ans !On peut dire qu’il partage avec Sasha, son hĂ©roĂŻne principale, la persĂ©vĂ©rance des grands aventuriers. Il a essuyĂ© beaucoup de tempĂȘtes, rĂ©parĂ© les dĂ©fauts de conception et avaries, dĂ©sespĂ©rĂ© de voir son navire cinĂ©matographique arriver Ă  bon port
 avant l’heureux le sillage de crĂ©ateurs talentueux J’ai eu la chance de trouver des producteurs et des scĂ©naristes animĂ©s de la mĂȘme envie tenace de faire ce film. Mais j’ai aussi eu l’occasion de dĂ©buter dans ce mĂ©tier avec des cinĂ©astes exigeants qui m’ont donnĂ© le goĂ»t du bel ouvrage. »Son regard s’illumine alors pour Ă©voquer la sagesse » de Jean-François Laguionie L’üle de Black MĂłr, 2004, Le Tableau, 2011, le savoir-faire » de Dominique MonfĂ©ry KĂ©rity, la maison des contes, 2009 ou le souci du dĂ©tail » de Tomm Moore Brendan et le secret de Kels, 2009.Avant de travailler avec ces pointures de l’animation europĂ©enne, le petit RĂ©mi avait dĂ©vorĂ© les AstĂ©rix, Gaston et Lucky Luke de la bibliothĂšque municipale de Poitiers, la ville qui l’a vu naĂźtre en 1968. Enfant, je me destinais Ă  faire de la BD. Mon prof d’histoire-gĂ©o me passait un savon quand je dessinais des chevaliers du Moyen Âge sur mes cahiers. » Bon Ă©lĂšve, il atterrit en math sup un peu malgrĂ© lui, mais lĂąche vite la calculette pour les crayons et s’inscrit Ă  Penninghen, Ă©cole d’art graphique parisienne aussi prestigieuse que goĂ»t du collectifSes parents, un professeur de mathĂ©matiques et une infirmiĂšre, lui donnent six mois pour rĂ©ussir
 MalgrĂ© la discipline de fer, il s’accroche et apprend le dessin Ă  l’ancienne ». Puis il se cherche un peu, entre illustration, publicitĂ© et bande dessinĂ©e. Mais ne citez pas le nom de la BD, c’était une erreur de jeunesse
 »De passage Ă  AngoulĂȘme, il prĂ©sente son portfolio Ă  un studio d’animation. C’est le dĂ©clic. J’avais envie de travailler dans un collectif au sein duquel j’apprenais des autres dans une ambiance de travail dĂ©tendue. »RĂ©mi ChayĂ© travaille sur les story-boards – sorte de bande dessinĂ©e du film avant sa rĂ©alisation – des films de Jean-François Laguionie, et supervise les tĂąches sous-traitĂ©es en Asie. Il en garde une expĂ©rience amĂšre de la dĂ©localisation. PayĂ©s des clopinettes, les animateurs chinois ou nord-corĂ©ens, si appliquĂ©s soient-ils, ne peuvent pas donner autant que des artistes français. »Passer derriĂšre la camĂ©raIl a donc tenu Ă  ce que la production de son film reste en France Ă  90 %, le restant ayant Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© au Danemark, pour des raisons artistiques mais aussi politiques, car j’ai envie que les animateurs français puissent vivre de leurs compĂ©tences ». Mais le made in France » a un coĂ»t il a fallu faire des choix pour ramener le budget de Tout en haut du monde de 9 millions Ă  6 millions d’euros
En 2003, il ressent le besoin de se former au mĂ©tier de rĂ©alisateur de cinĂ©ma d’animation. Il s’inscrit Ă  la PoudriĂšre, Ă©cole cofondĂ©e prĂšs de Valence par Jacques-RĂ©my Girerd, le patron du studio Folimage. C’est lĂ , en 2005, que Claire Paoletti vient lui proposer de rĂ©aliser Tout en haut du monde dont elle a Ă©crit une premiĂšre mouture du et transmission Elle voulait Ă©crire une quĂȘte autour de la question de la transmission. Or, c’est un thĂšme que j’ai abordĂ© dans mes courts mĂ©trages. Mes grands-pĂšres ont beaucoup comptĂ© pour moi. Ils avaient quelque chose de romanesque, l’un n’avait qu’une seule dent et fumait sa pipe, l’autre me racontait la guerre de 1940 qui lui avait laissĂ© une jambe raide. J’ai toujours ressenti une frustration de ne pas avoir conservĂ© leur tĂ©moignage. »AprĂšs l’exploration du pĂŽle Nord par la jeune Sasha, dans Tout en haut du monde, son prochain long mĂ©trage portera sur une autre conquĂȘte, celle de l’Ouest amĂ©ricain par Martha Jane Cannary, 11 ans, et future Calamity Jane. Encore un personnage fĂ©minin fort, dont l’opiniĂątretĂ© n’a rien Ă  envier Ă  celle de RĂ©mi inspiration La culture du vide et du plein »RĂ©mi ChayĂ© est passionnĂ© par la Russie et ses peintres, les romans de Jules Verne et Jack London
 Tout le portait donc Ă  rĂ©aliser Tout en haut du monde dont le souffle Ă©pique n’est pas sans rappeler les romans d’aventures de l’enfance. Le graphisme Ă©purĂ© du film est inspirĂ© des affiches des compagnies ferroviaires amĂ©ricaines du XIXe siĂšcle, avec de grands aplats de pour sa part, emprunte au style japonais, marquĂ© par des poses fortes et une Ă©conomie de dessins. J’aime cette culture du vide et du plein le mouvement d’un personnage est plus frappant visuellement quand il est prĂ©cĂ©dĂ© d’un long moment d’immobilitĂ©. »
AdĂ©couvrir ce 17 avril dans “13h15, le samedi” sur France 2, le reportage « La mĂ©moire de mon pĂšre » signĂ© Vincent Nguyen, Jean-Charles Guichard, Mathieu Parmentier.

Paul RĂ©tif, auteur de Louisfert Loire-Atlantique, prĂ©sente un nouvel ouvrage Ă  la mĂ©moire de son grand-pĂšre. Il y dĂ©peint la campagne castelbriantaise du siĂšcle dernier. Par LĂ©o Gautret PubliĂ© le 6 Juin 22 Ă  1058 L'Éclaireur de ChĂąteaubriant Paul RĂ©tif, auteur de Louisfert Loire-Atlantique, prĂ©sente un nouvel ouvrage Ă  la mĂ©moire de son grand-pĂšre ©L’Éclaireur de ChĂąteaubriantPassionnĂ© d’histoire et de patrimoine, Paul RĂ©tif vient d’éditer son deuxiĂšme ouvrage, MĂ©moires d’un fils et petit-fils de paysan Haut Breton. L’auteur local y dĂ©roule le fil de la vie de son grand-pĂšre paternel et de sa famille, Ă  Louisfert Loire-Atlantique, des annĂ©es 1950 Ă  la fin du siĂšcle dernier. J’ai Ă©crit ces lignes, Ă  la mĂ©moire de mon grand-pĂšre Henri RĂ©tif, que j’ai mieux connu que mon pĂšre. Fils et petit-fils de paysan, j’ai grandi dans une famille de paysans. Les annĂ©es de mon enfance Ă  la ferme ont imprimĂ© en moi des images fortes et vivaces que j’aie eu envie de faire connaĂźtre, pour que les nouvelles gĂ©nĂ©rations transmettent ce que nous, gamins des annĂ©es 1950 avons vĂ©cu. Il a suffi seulement d’un demi-siĂšcle pour enregistrer de profonds bouleversements. » Les gamins des annĂ©es 1950 »Le LocfĂ©riens de 70 ans s’est replongĂ© dans les notes griffonnĂ©es tout au long de sa vie pour reconstituer ce rĂ©cit familial, en gardant tout du long son grand-pĂšre comme fil rouge. C’est un peu ce qu’on a vĂ©cu nous, les gamins des annĂ©es 1950 dans les petites fermes, sans voiture, sans tĂ©lĂ©phone ni d’eau courante. AĂźnĂ© de cette famille de six enfants, Paul RĂ©tif y Ă©voque son existence, dans la fermette de la NoĂ«, oĂč il dut Ă©pauler sa mĂšre dĂšs l’ñge de 14 ans Ă  cause de la maladie puis du dĂ©cĂšs de son pĂšre. Le garçon venait tout juste d’obtenir son certificat d’études. Il vivait alors sous le mĂȘme toit que son grand-pĂšre paternel, Henri RĂ©tif, rescapĂ© de la Grande Guerre. J’ai retrouvĂ© tout son parcours de guerre Verdun, le Chemin des Dames
 il Ă©tait lui aussi paysan. » Il apparaĂźt d’ailleurs sur la couverture en tenue y dĂ©peint une autre Ă©poque, oĂč le pouls de la campagne Ă©tait rythmĂ© par le rythme du soleil et des saisons. Sauvegarder ce qu’on a vĂ©cu »Le parcours de son oncle devenu moine capucin en 1957, missionnaire en Éthiopie jusqu’en 1981, fait aussi l’objet de nombreuses pages, tout comme sa scolaritĂ© Ă  l’école d’IssĂ©. J’y raconte la vie de ma famille, de mes ancĂȘtres et des habitants de l’époque. C’est sauvegarder ce qu’on a vĂ©cu. C’était un besoin de raconter, mĂȘme mes sƓurs ne sont pas au courant de tout. Une dĂ©marche que Paul RĂ©tif avait dĂ©jĂ  entamĂ©e en publiant Louisfert dans l’histoire de la Bretagne en en ce moment sur ActuCe livre de plus de 400 pages est disponible dans des commerces de Louisfert, Erbray, IssĂ©, Saint-Vincent-des-Landes, Saint-Aubin-des-ChĂąteaux et Ă  ChĂąteaubriant Ă  la librairie La liste de mes envies au prix de 22 €.Contact Paul RĂ©tif La NoĂ« 44110 Louisfert. 02 40 81 01 51 ou [email protected] Cet article vous a Ă©tĂ© utile ? Sachez que vous pouvez suivre L'Éclaireur de ChĂąteaubriant dans l’espace Mon Actu . En un clic, aprĂšs inscription, vous y retrouverez toute l’actualitĂ© de vos villes et marques favorites.

Achetezle design « À la mĂ©moire de mon pĂšre vĂ©tĂ©rinaire de la guerre du Vietnam, cadeau pour pĂšre et grand-pĂšre » par soufianABH sur le produit suivant : Tentures Vendez vos Ɠuvres Connectez-vous Inscrivez-vous

ï»żLe but de ce voyage est d'honorer la mĂ©moire de mon grand-pĂšre et amasser un MINIMUM de [...]8000$ mais je veux en ramasser plus. The goal of this voyage is to honor the memory with my grandfather and to pile [...]up a minimum of 8000$ but I want to collect more. Cette section est dĂ©diĂ©e Ă  la mĂ©moire de mon grand-pĂšre Robert. This section [...] is dedicated to the memory of my grandfather Robert. Ma mĂ©moire la plus vive de San Juan Capistrano Ă©tait toute l'Ă©criture au crayon griffonnĂ©e partout sur les murs de la chapelle Sauvez mon grand-pĂšre du cancer. My most vivid memory from San Juan Capistrano was all the penciled writing scribbled all over the wall of the chapel 'Save my grandfather from cancer. Elle fait de la bicyclette, elle chante dans une chorale et elle joue des tours Ă  mon grand-pĂšre. She bicycles, she sings in a choir and she plays tricks on my grandfather. Madame la PrĂ©sidente, Membres du Parlement, chĂšre Luisa, ma chĂšre famille, [...] chĂšre Madame Sartaoui, je voulais [...] dĂ©dier mes paroles Ă  la mĂ©moire de mon pĂšre et de son ami palestinien, [...]Dr Issam Sartaoui, qui [...]ont rĂȘvĂ© ensemble de la paix, il y a trente ans. FR Madam President, ladies and gentlemen, Luisa, my [...] family, Mrs Sartaoui, I wanted to dedicate [...] this speech to the memory of my father and his Palestinian [...]friend, Dr Issam Sartaoui, [...]who both dreamt of peace thirty years ago. Mon grand-pĂšre a Ă©tabli la propriĂ©tĂ© familiale Ă  Lloydminster, mon pĂšre y a grandi et plusieurs de mes cousins y [...]habitent encore aujourd'hui. My grandfather homesteaded in Lloydminster, that's where my father grew up and I have many cousins who still live there. Mon grand-pĂšre m'a appris une chose que la plupart des chefs d'entreprise oublient il est important de prĂ©voir trĂšs tĂŽt sa propre succession. One thing I learnt from my grandfather, and that's something that most bosses tend to forget it is important to deal with the issue of your own successor [...]at a very early stage. Et je fais confiance Ă  la communautĂ© [...] de ses amis et de mes amis pour honorer la mĂ©moire du PĂšre Bat' lors de la belle messe [...]qui lui sera consacrĂ©e. And I am [...] sure that the community of his friends and my friends will honour the memory of Fr. Je voudrais dĂ©dier cet album Ă  la mĂ©moire de mon pĂšre. I would like to dedicate this album to the memory of my Father. La sagesse des anciens m'a Ă©tĂ© transmise par les enseignements de mon grand-pĂšre. The elders' wisdom was transmitted to me through my grandfather's teachings. Mon grand-pĂšre Ichiro, Premier Ministre Ă  l'Ă©poque, Ă©tait un dĂ©fenseur de la notion de yu-ai », [...]ou fraternitĂ©. My grandfather Ichiro, Prime Minister at that time, was an advocate of the concept of "yu-ai", or [...]fraternity. Abd Al Malik Un Ă©vĂ©nement un peu [...] tragique est Ă  la base de l'album le dĂ©cĂšs de mon grand-pĂšre maternel. Abd Al Malik [...] The album is based on the sad event of my maternal grandfather's death. C'est mon grand-pĂšre qui m'a fait visiter pour la premiĂšre fois Tbilissi oĂč nous avons rendu visite Ă  un de ses amis avec [...]qui ils avaient fait la guerre. My grandfather first took me to Tbilisi to a friend of his, with whom they had fought in the war. Lors de la bataille de la Somme, il y a tout juste 90 ans, mon grand-pĂšre et mon grand-oncle n'Ă©taient [...]dĂ©jĂ  plus. At the time of the battle of the Somme, exactly 90 years ago, my grandfather and great-uncle were no more. Cette annĂ©e j'ai eu non seulement le privilĂšge d'ĂȘtre chaperon de 23 jeunes adultes mais j'ai aussi ouvert [...] et clĂŽturer le camp en mĂ©moire de mon pĂšre. This year, I had the honor of not only being a chaperone for the 23 young adults, but also I was able to open [...] and close the camp in memory of my father. Ce site est aussi en mĂ©moire de mon grand-pĂšre Gilbert FrĂ©my, musicien et adepte de la peinture Ă  l'huile, [...]disparu il y [...]a plus de quarante ans, dont j'ai peu de souvenirs; seulement de belles peintures sur bois, de magnifiques aquarelles, et peut-ĂȘtre un peu de ses dons. This site is also in the memory of my late grandfather, Gilbert FrĂ©my, a painter and musician [...]who passed away around forty [...]years ago, leaving few actual memories but beautiful wood paintings, gorgeous watercolours, and maybe some of his gift. Je prĂ©fĂ©rerais [...] toujours un rĂ©cit dĂ©formĂ©, racontĂ© Ă  son petit fils par un grand-pĂšre Ă  la mĂ©moire hĂ©sitante, qu'un rĂ©cit objectif fait dans le musĂ©e d'Auschwitz. I'd much prefer a deformed account given to a grandchild by a grandfather with an uncertain memory to an objective account in the Auschwitz museum. Le Grand Conseil a prĂ©parĂ© un excellent mĂ©moire au sujet de la rĂšgle s'appliquant [...]aux enfants d'une mĂȘme famille et il fait Ă©tat d'une autre situation. They put together a great submission about the siblings rule and give a different [...]situation. Dr Joe Hornick Nous recevons une subvention de base [...] de l'Alberta Law [...] Foundation, mais tel que je le prĂ©cise dans mon mĂ©moire, la plus grande partie de notre financement vient des fonds allouĂ©s [...]aux projets pour lesquels [...]nous sollicitons l'intervention des fondations et des gouvernements fĂ©dĂ©ral et provinciaux. Dr. Joe Hornick We get some core [...] funding from the Alberta Law Foundation, but as I suggest in my brief, most of our funding comes from direct project [...]funds whereby we would [...]solicit federal and provincial governments and foundations, and they would fund specific projects. Depuis la mort de mon grand-pĂšre, je me suis souvent [...]demandĂ© ce qu'il aurait pensĂ© de mes dĂ©cisions Ă  propos de New Denner, [...]de l'achat de Pick Pay, de la vente de l'entreprise Ă  Migros. Since the death of my grandfather, I have often asked [...]myself what he would have said about my decisions regarding New Denner, [...]the purchase of Pick Pay, the sale to Migros. Sans aucun doute, j'ai ressenti la prĂ©sence de mon grand-pĂšre. I could feel the presence of my Grandfather - without a doubt! La premiĂšre fois que j'ai vu le vrai nom de mon grand-pĂšre Ă©crit en anglais, j'ai dĂ» dĂ©chiffrer Ă  travers mes [...]larmes les formes Ă©tranges [...]de ces lettres sur sa pierre tombale. The first time I ever saw my grandfather's real name in English, I glimpsed the strange shape of its letters on [...]his headstone through tears of mourning. J'ai constatĂ© ce que la possession d'une arme [...] signifiait pour mon grand-pĂšre et la valeur qu'il [...]accordait Ă  cette expĂ©rience. I appreciated how [...] much that meant to him and how much that experience [...]was valued by him. Cette maxime, je la tiens de mon grand-pĂšre maternel. I got that line from my maternal grandfather. Je dirige actuellement une [...] ferme mixte avec mon grand-pĂšre Ă  Fredericton, au Nouveau-Brunswick, en pleine ville, alors nous pratiquons beaucoup la commercialisation [...]directe. I currently run a mixed farm with my grandfather in Fredericton, New Brunswick, right in the city, so we do a lot of direct marketing. Une dĂ©putĂ©e doit pouvoir honorer la mĂ©moire de son pĂšre mĂȘme si la vice-premiĂšre [...]ministre ne partage pas ses opinions politiques. An hon. member [...] should be able to honour her father's memory even if the Deputy Prime [...]Minister does not share her political opinions. Mon collĂšgue perdra-t-il aussi la mĂ©moire lorsqu'il traversera de l'autre cĂŽtĂ© de la Chambre ou [...]rendra-t-il compte des rĂ©alitĂ©s [...]dans lesquelles il vit aujourd'hui? Will my colleague also lose his memory when he crosses to the other side of the House, or will [...]he remember what is happening today? Cinder organise maintenant un tournoi de [...] golf tous les deux ans en mĂ©moire de son pĂšre, et dont les profits sont versĂ©s Ă  la FRDJ. Now Cinder runs a [...] golf tournament in memory of her father every other year, with proceeds going to JDRF. J'ai ensuite lu la rĂ©daction de mon testament de l'annĂ©e derniĂšre, Ă©crite elle aussi au cours des exercices spirituels - je l'ai comparĂ©e avec le testament de mon grand prĂ©dĂ©cesseur et PĂšre Paul VI, avec ce sublime [...]tĂ©moignage sur la [...]mort d'un chrĂ©tien et d'un pape - et j'ai renouvelĂ© en moi la conscience des questions auxquelles se rĂ©fĂšre la rĂ©daction du 6. I therefore read the draft of my Testament as it was recorded last year, also written during the spiritual exercises - I compared it with the Testament of my great Predecessor and Father, Paul VI, with his sublime [...]testimony on the [...]death of a Christian and a Pope - and I reminded myself of the matters mentioned in the draft of 6 March 1979, prepared by me in a somewhat makeshift manner. . 233 20 130 414 145 135 219 52

à la mémoire de mon grand pÚre