Pourl’annĂ©e scolaire 2022-2023, la rentrĂ©e est programmĂ©e au jeudi 1er septembre et les grandes vacances d’étĂ© le samedi 8 juillet 2023. Elsa P. Voir les commentaires
FAMILLE - MĂȘme si les dĂ©cisions de justice s'efforcent toujours de prĂ©voir un cadre qui s'appliquera pour les parents sĂ©parĂ©s ou divorcĂ©s Ă  dĂ©faut d'ĂȘtre parvenu Ă  un meilleur accord, il demeure compliquĂ©, en pratique, de dĂ©terminer l'agenda des vacances scolaires de leurs enfants. monkeybusinessimages monkeybusinessimages FAMILLE - MĂȘme si les dĂ©cisions de justice s'efforcent toujours de prĂ©voir un cadre qui s'appliquera pour les parents sĂ©parĂ©s ou divorcĂ©s Ă  dĂ©faut d'ĂȘtre parvenu Ă  un meilleur accord, il demeure compliquĂ©, en pratique, de dĂ©terminer l'agenda des vacances scolaires de leurs enfants. Au-delĂ  de la difficultĂ© du maintien du rapport parental Ă  l'issue d'une rupture conjugale, la recomposition des familles, les dĂ©mĂ©nagements, les contraintes professionnelles ou encore la prise en compte de la volontĂ© des enfants eux-mĂȘmes, on entrevoit les difficultĂ©s que cela peut susciter. Pour Ă©viter que cette organisation ne tourne au cauchemar, il n'est pas inutile de rappeler quelques rĂšgles fondamentales Date des vacances quand dĂ©butent-elles? En gĂ©nĂ©ral, le principe qui prĂ©vaut est celui de l'Ă©galitĂ© du partage des vacances scolaires entre les parents; sauf disposition ou accord contraire, la moitiĂ© des vacances est dĂ©comptĂ©e Ă  partir du premier jour de la date officielle des vacances de l'acadĂ©mie dont dĂ©pend l'Ă©tablissement scolaire frĂ©quentĂ© par les enfants, ce qui a le mĂ©rite d'ĂȘtre clair. Demeure le problĂšme des fratries dont les enfants sont inscrits dans des Ă©coles qui ne dĂ©pendent pas de la mĂȘme acadĂ©mie lorsque l'un d'eux est pensionnaire par exemple ou encore si, bien que dĂ©pendants de la mĂȘme acadĂ©mie, les enfants sont inscrits dans des Ă©coles qui rĂ©pondent Ă  des rythmes scolaires diffĂ©rents par exemple l'un qui a Ă©cole la samedi matin et l'autre non. En pareil cas, la solution la plus opportune est alors de prĂ©voir une clause aux termes de laquelle on attribuera Ă  chacun des parents, en alternance, la semaine commune entre les enfants, si toutefois il y a une... Comment se rĂ©partir les pĂ©riodes de vacances entre les parents? Par principe, les vacances sont partagĂ©es par moitiĂ©, ce qui conduit Ă  attribuer Ă  chaque parent, en alternance chaque annĂ©e, une semaine avec leurs enfants pour les petites vacances lors de l'annĂ©e scolaire, et peu ou prou, un mois pour les vacances estivales. Par exception nĂ©anmoins, lorsque les enfants sont encore jeunes, il est d'usage de prĂ©voir un partage "par quinzaine" pour rĂ©duire la durĂ©e d'Ă©loignement des enfants de l'un ou l'autre des parents. Ces modalitĂ©s -a priori- assez claires, sont nĂ©anmoins susceptibles de susciter des questions, plus ou moins lĂ©gitimes, certains parents se livrant malheureusement Ă  des interprĂ©tations vĂ©tilleuses des dispositions des dĂ©cisions de justice. Les vacances commencent en effet souvent aprĂšs le 1er juillet et finissent souvent aprĂšs le 31 aoĂ»t. Pour Ă©viter toute difficultĂ©, il semble prĂ©fĂ©rable, comme le font dĂ©sormais de nombreuses dĂ©cisions, de se rĂ©fĂ©rer Ă  un partage par pĂ©riodes Ă©gales, par exemple Mais en pratique, les parents prĂ©fĂšrent parfois laisser de cĂŽtĂ© cette mĂ©thode de partage assez mathĂ©matique du nombre de jours et rĂ©flĂ©chir par quinzaine, ce qui s'adapte bien Ă  la logique de la prise de congĂ©s. Que faire en cas de location ou d'un voyage organisĂ© qui sont gĂ©nĂ©ralement du samedi au samedi, alors que le partage des vacances par moitiĂ© implique un transfert des enfants le samedi soir seulement, voire le dimanche matin? Il convient par exemple de prĂ©voir qu'en cas de prise d'une location ou d'un dĂ©part en vacances pour une destination lointaine, l'un des parents dispose d'un jour de plus, en attribuant cette facultĂ© Ă  tour de rĂŽle Ă  chaque parent, Ă  charge de revanche. Il en va de mĂȘme pour les stages et sĂ©jours linguistiques, pour lesquels les parents doivent s'efforcer de les imputer Ă©quitablement sur leurs pĂ©riodes de vacances respectives. En synthĂšse, en marge du cadre fixĂ© par la dĂ©cision de justice, les meilleures solutions sont toujours celles auxquelles les parents sont parvenus Ă  l'issue d'un dialogue constructif menĂ© en amont, dans l'intĂ©rĂȘt des enfants eux-mĂȘmes. C'est aujourd'hui le rĂŽle de l'avocat que de favoriser le recours aux modes alternatifs de rĂšglement des litiges pour Ɠuvrer Ă  la recherche de telles solutions d'apaisement.

LadĂ©cision a Ă©tĂ© mise en dĂ©libĂ©rĂ© par mise Ă  disposition au greffe au 20 janvier 2022. 2/13 Tribunal judiciaire de Lille – RG n°N° RG 21/06683 – N° Portalis DBZS-W-B7F-VUO5. L’absence de procĂ©dure en assistance Ă©ducative ouverte au bĂ©nĂ©fice des enfants mineurs a Ă©tĂ© vĂ©rifiĂ©e pendant le temps du dĂ©libĂ©rĂ©.

Quand les parents se sĂ©parent ou divorcent, le problĂšme du droit de visite et d’hĂ©bergement est un incontournable quand le couple possĂšde un ou plusieurs enfants Tout Savoir sur le droit de visite On appelle droit de visite le droit accordĂ© Ă  un parent pour accueillir l’enfant dans une pĂ©riode dĂ©terminĂ©e. Ce droit concerne le parent qui ne vit pas en permanence avec sa progĂ©niture. Le droit de visite et d’hĂ©bergement cible le maintien des liens familiaux des enfants avec chaque ascendant. Ce droit est soit Ă©tabli en commun accord entre les deux parents, soit dĂ©terminĂ© par une juridiction en cas de dĂ©saccord par le JAF ou Juge des Affaires Familiales par le truchement d’une ordonnance. Le droit de visite avec l’accord des parents Si les parents s’accordent sur les conditions d’application du droit de visite et d’hĂ©bergement, les modalitĂ©s sont dĂ©finies dans une convention signĂ©e par les deux parents. Elles doivent ĂȘtre bien dĂ©terminĂ©es pour se prĂ©munir de tout litige. En majoritĂ©, cette convention propose un droit de visite qui se dĂ©roule un week-end sur deux, ainsi que durant la moitiĂ© des vacances scolaires. Le droit de visite est parfois moins frĂ©quent ou dĂ©cide que l’enfant vivra en rĂ©sidence alternĂ©e. Pour ĂȘtre valide, la convention est homologuĂ©e par le JAF. Toutefois, le refus d’homologation est toujours possible en cas de non prĂ©servation de l’intĂ©rĂȘt de l’enfant ou si l’un des parents qui a Ă©tĂ© contraint de signer. L’exercice du droit de visite en cas de dĂ©saccord parental Si les parents sont en dĂ©saccord, le JAF dĂ©termine la rĂ©sidence de l’enfant ainsi que les rĂšgles spĂ©cifiques du droit de visite et d’hĂ©bergement. La saisine du JAF est effectuĂ©e par l’un des parents ou le ministĂšre public. La fixation judiciaire du droit de visite et d’hĂ©bergement peut comprendre trois caractĂšres. Le droit de visite classique inclut chaque premier, troisiĂšme et cinquiĂšme week-end du mois et la moitiĂ© des vacances scolaires. Le droit de visite restreint intĂšgre des jours et des heures d’exercice dĂ©terminĂ© par le magistrat. Le droit de visite Ă©largie revient aussi Ă  la discrĂ©tion du JAF. Le droit de garde est prioritairement accordĂ© Ă  la mĂšre notamment lorsque les enfants sont en bas Ăąge. Les cas particuliers relatifs au droit de visite Le refus du droit de visite dĂ©cidĂ© par un parent entraĂźne une augmentation des frais et de la pension alimentaire. La non reprĂ©sentation d’enfant est un dĂ©lit. Le retard d’un parent pour rĂ©cupĂ©rer l’enfant peut entraĂźner une modification des modalitĂ©s de droit de visite. Cette modification peut impliquer une rĂ©duction de frĂ©quence du droit de visite. Pour cette formalitĂ©, le parent demandeur doit adresser un formulaire au JAF. Si l’un des parents dĂ©montre un dĂ©sintĂ©rĂȘt pour l’enfant, la modification de la pension alimentaire est opĂ©rĂ©e par le magistrat. Dans les cas extrĂȘmes, la suppression du droit de visite est spĂ©cifiĂ©e par le juge. Ceci peut ĂȘtre la consĂ©quence de maltraitance, d’autoritĂ© excessive, de comportement violent envers les enfants exercĂ© par l’un des parents.

Bonjour Le calendrier des congĂ©s est fixĂ© par le chef de service, aprĂšs consultation de l’agent. Une prioritĂ© pour les choix de pĂ©riode est donnĂ©e aux agents publics ayant des enfants. Les salariĂ©s ayant des enfants Ă  charge (jusqu’à 18 ans) sont prioritaires pour la rĂ©servation des congĂ©s d’étĂ© pendant les vacances scolaires.

“Un avocat de confiance est un phare qui apporte la lumiĂšre et aide Ă  garder le bon cap”, MaĂźtre Michel Lamy, ancien BĂątonnier de Rouen Droit de garde des enfants N’hĂ©sitez pas Ă  profiter de notre 1er RDV offert afin d’avoir notre avis gratuitement sur votre situation et notre proposition d’intervention. Cliquez sur la photo Cliquez sur la photo Le droit de garde des enfants et la procĂ©dure de divorce En cas de divorce il y a aura deux solutions concernant la dĂ©cision de la garde pour les enfants. Soit les parents se mettent d’accord dans le cadre d’un divorce Ă  l’amiable, soit le juge prend sa dĂ©cision dans l’intĂ©rĂȘt des enfants en cas de procĂ©dure contentieuse. Il existe par ailleurs deux types de garde la garde exclusive et la garde alternĂ©e. Choix entre la garde exclusive et la garde alternĂ©e Le juge aux affaires familiales a une tendance Ă  privilĂ©gier la garde alternĂ©e lorsque les conditions sont rĂ©unies pour l’intĂ©rĂȘt des enfants. Droit de visite et d’hĂ©bergement Le parent qui n’a pas la garde de ses enfants aura droit Ă  un droit de visite et d’hĂ©bergement. Il s’agit concrĂštement souvent d’un week-end sur deux et la moitiĂ© des vacances scolaires. RĂ©sumĂ© de la page Droit de garde des enfants Le cabinet avocat intervient en matiĂšre de divorce et de droit de garde des enfants. Si vous vous posez des questions concernant ce qu'il faut savoir sur le thĂšme droit de garde des enfants, n'hĂ©sitez pas Ă  demander notre avis en laissant une question. Nous ferons en sorte, dans la mesure du possible, qu'un avocat vous Ă©claire gratuitement. Exemples de questions posĂ©es concernant le droit de garde des enfants en cas de divorce Garde d’enfants pour un couple divorcĂ© Ma compagne et moi-mĂȘme allons nous sĂ©parer et divorcer. Nous sommes mariĂ©s depuis 20 ans et avons 2 enfants Ă  charge. 1 mineur et 1 majeur. Nous ne trouvons pas de terrain d’entente pour notre fils mineur. Pourriez-vous me dire vers qui je peux me tourner et quels sont mes droits de garde ? Changement garde Je viens de dĂ©poser une main courante Ă  l’encontre de mon ex mari qui a, hier soir, tentĂ© de frapper notre fils. Je souhaite saisir trĂšs rapidement le JAF afin de modifier le droit de garde. Pouvez-vous m’aiguiller svp? Scolarisation enfants parents sĂ©parĂ©s. Droit de garde la la mĂšre Avec la mĂšre de mes enfants, on est en complet dĂ©saccords au sujets de l’inscription en Ă©tablissement scolaire pour l’annĂ©es prochaine, parmi d’autres dĂ©saccords. Elle a la garde principale de nos deux filles. J’envisage d’en appeler Ă  une dĂ©cision de justice. J’aurais besoins de conseils et avis. Garde d’enfant et pension alimentaire Je me permets de vous contacter car je suis sĂ©parĂ©e du pĂšre de ma fille. D’un commun accord j’ai la garde exclusive de la petite. Il l’a uniquement la moitiĂ© des vacances scolaires. Nous avions fait Ă  l’amiable une estimation de la pension alimentaire. Or aujourd’hui, entre l’inflation et les diffĂ©rents coĂ»ts pour subvenir aux besoins de ma fille, je souhaite que cette pension 112€ versĂ© de sa part soit revu. Monsieur. Je souhaite donc me faire conseiller et accompagner dans les dĂ©marches afin de savoir si je suis en droit de demander plus, et de faire acter cela par un juge. Garde enfants Je suis dans l’impasse, Ă  savoir je suis sĂ©parĂ© depuis 9 ans, aujourd’hui mon ex a dĂ©cidĂ© sans mon accord de me donner les enfants un week-end sur deux. Les enfants sont dĂ©semparĂ©es et moi Ă©galement. Que puis-je faire dans l’immĂ©diat ? SĂ©paration avec 2 enfants et garde Ma femme a quittĂ© le domicile conjugale depuis 3 ans pour aller vivre Ă  l’étranger alors que nous avions 2 enfant alors ĂągĂ© de 18 mois et 3 ans. Je souhaite officiellement avoir la garde exclusive de mes 2 enfants.. Droit de garde VoilĂ  15 jours que le pĂšre de mon enfant n’a pas utilisĂ© son droit de garde la premiĂšre fois il m’envoie un sms pour me prĂ©venir mais ce week-end il ne l’a pas fait et ne m’a pas prĂ©venu en sachant que cette annĂ©e il le mois de juillet pour les grandes vacances que dois-je faire s’il ne la prends pas ? Garde des enfants Nous sommes en cours de sĂ©paration avec ma femme pas de dĂ©marche de divorce entamĂ©e pour le moment. Nous avons trois enfants. Ma femme a dĂ©cidĂ© qu’elle irait vivre chez son pĂšre, j’ai dĂ» prendre un appartement Ă  proximitĂ©. Elle a surtout dĂ©cidĂ© de maniĂšre unilatĂ©rale que les enfants iraient vivre chez elle. Elle me propose le mode de garde suivant – ils vivent avec elle– je prends les grands du mardi soir aprĂšs l’école au mercredi 18h, une semaine sur deux– je prends les trois enfants du vendredi soir au dimanche soir, un week-end sur ne me convient pas du tout et surtout ne respecte pas l’intĂ©rĂȘt des enfants. Nous Ă©tions autant investies l’une que l’autre dans leur Ă©ducation. Que puis-je faire pour Ă©viter cet Ă©tat de fait Ă  partir de septembre ? Comment puis-je m’y prendre pour faire respecter les intĂ©rĂȘts des enfants ? JAF + prĂȘt en co-emprunteur, garde de ma fille Je me permets de vous contacter car je me retrouve dans une situation dĂ©licate depuis plusieurs mois oĂč le JAF a attribuĂ© la garde de ma fille au pĂšre car j’ai du dĂ©mĂ©nager pour des raisons professionnelles. Depuis la sĂ©paration il a toujours des affaires chez lui qu’il ne souhaite pas me rendre et un prĂȘt en co-emprunteur en mensualitĂ©s de 500euros/mois qui ne paie pas depuis Un avocat Ă©tait chargĂ© de s’occuper de mon dossier pour la somme de 3600 euros. Aujourd’hui, il l’a fait appel Ă  la dĂ©cision de justice mais n’a pas rendu les conclusions d’appels dans les temps Comment dois-je faire pour rĂ©cupĂ©rer mon dossier ou un certificat de non appel pour dĂ©poser Ă  nouveau un dossier auprĂšs du tribunal. Je suis Ă  5000 euros d’honoraire d’avocat depuis le dĂ©but de cette procĂ©dure et je n’ose plus en prendre un autre car ça me fait des charges trop consĂ©quentes pour un dossier qui est toujours au point de dĂ©part. Ma fille a 8 ans et souhaite se faire entendre car elle souhaite voir autant son pĂšre que sa mĂšre.

Voiciles dates exactes zone par zone des vacances scolaires d’étĂ© en France, pour que vous puissiez les noter dans vos calendriers : Les vacances commencent le Jeudi 07 Juillet 2022 et prennent fin Ă  une date encore inconnue Ă  ce jour (fin AoĂ»t ou dĂ©but Septembre 2022) pour toutes les Ă©coles Ă©lĂ©mentaires, tous les collĂšges et tous
La derniĂšre proposition du ministre de l’intĂ©rieur visant Ă  faire appel Ă  l’ArmĂ©e pour prendre en charge de jeunes dĂ©linquants ne manque pas de faire polĂ©mique. Elle recouvre pourtant nombre de sujets qui mĂ©riteraient d’ĂȘtre saisis sĂ©rieusement par-delĂ  les effets d’annonce. * Le social encore discrĂ©ditĂ© Cette initiative trahit dĂ©jĂ  le doute de certains politiques Ă  l’égard de dispositifs classiques et de leurs acteurs sur la maniĂšre de faire face Ă  ces situations. On doute des travailleurs sociaux, ceux de la PJJ comme du secteur associatif, pour prendre en charge des jeunes qui appelleraient Ă  des rĂ©ponses coercitives. Au risque d’une incohĂ©rence si ces jeunes, notamment dans les Territoires d’Outremer de Mayotte et de la Guyane explicitement visĂ©s, commettent des faits graves comme des attaques Ă  la machette, ils relĂšvent d’abord de la justice pour ces actes dĂ©lictueux gravissimes, sinon criminels. Elle ne manquera pas de les condamner Ă  des peines coercitives, voire en attendant le jugement elle prendra des mesures de privation de libertĂ©. Le nouveau code de justice pĂ©nal, adoptĂ© sous un gouvernement oĂč M. Darmanin figurait dĂ©jĂ , ne permet-il pas une rĂ©ponse rapide et ferme ? Le procĂšs fait aux travail social, directement ou via les juges des enfants interpellĂ©s pour laxisme, n’est pas d’aujourd’hui. On met en cause la capacitĂ© des institutions sociales pour intervenir et offrir des structures contenantes Ă  des jeunes violents ; on se trompe. Pour autant reste Ă  rĂ©unir les moyens nĂ©cessaires pour les faire fonctionner Ă  plein rĂ©gime et indĂ©niablement on sest mis en situation de ne plus les trouver en toutes circonstances Ă  la hauteur, en nombre et en qualification. On doute aussi de l’efficacitĂ© de ces interventions. Or les quelques travaux dont on dispose 1 dĂ©montrent que l’efficacitĂ© de l’intervention judiciaire et Ă©ducative est bien supĂ©rieure Ă  la reprĂ©sentation que l’on s’en fait communĂ©ment. Dans 8 cas sur 10, un jeune suivi par un juge et la PJJ n’est plus dĂ©linquant Ă  sa majoritĂ©. On peut faire un peu mieux – le 100% Ă©tant inatteignable – , mais c’est quand mĂȘme pas mal. Et surtout bien mieux que ce que l’on dit communĂ©ment ! En d’autres termes, si l’idĂ©e de M. Darmanin Ă©tait cautionnĂ©e par le gouvernement , on devrait y voir un nouveau mauvais coup contre les travailleurs sociaux et le travail social en gĂ©nĂ©ral discrĂ©ditĂ©s aux yeux des politiques. Du plus mauvais aloi quand on est aux abois pour recruter ou maintenir en fonction des professionnels! La rĂ©ponse proposĂ©e est-elle elle-mĂȘme la hauteur du problĂšme Ă  traiter ? Avec la crĂ©ation d’un ou deux, voire trois ou quatre Centres Ă©ducatifs fermĂ©s pouvant accueillir une dizaine de jeunes Ă  Mayotte imagine-t-on rĂ©pondre aux problĂšmes sociaux, et dĂšs lors sĂ©curitaires, auxquels l’ile est indĂ©niablement confrontĂ©e de longue date pour des raisons bien connues. 600O enfants n’y seraient pas scolarisĂ©s; nombre avec ou sans leurs parents vivent dans des bidonvilles. La pauvretĂ© est dans la RĂ©publique ! Le problĂšme social est majeur. Comme en Guyane, nous sommes assis sur une bombe Ă  retardement. Ce n’est que depuis peu que des moyens financiers courants ont Ă©tĂ© rĂ©tablis par l’Etat Ă  la CollectivitĂ© territoriale. Bien Ă©videmment ces budgets demeurent largement insuffisants Ă  dĂ©velopper une politique d’action sociale digne de ce nom. On serait effarĂ© en se faisant prĂ©senter les moyens rĂ©els dont disposent les services mahorais de protection de l’enfance pour intervenir sur les situations avĂ©rĂ©es ! D’urgence vrai plan s’impose. Il a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© ; reste Ă  l’adopter et Ă  le dĂ©cliner. Doit-on ajouter que le problĂšme, mĂȘme moins aigue, ne se pose pas qu’en Guyane ou Ă  Mayotte ? Dans nombre de territoires mĂ©tropolitains les familles en difficultĂ© sont laissĂ©es livrĂ©es Ă  elles-mĂȘmes. Les dispositifs sociaux de proximitĂ© s’y sont estompĂ©s, voire ont disparu. Par exemple, 17 dĂ©partements n’ont plus de PrĂ©vention SpĂ©cialisĂ©e, c’est-Ă -dire d’éducateurs qui vont au contact des jeunes, lĂ  oĂč ils sont , dans la rue, les caves ou les rĂ©seaux sociaux pour nouer une relation et agir sur la durĂ©e. Dans 5 Ă  10 ans – demain – il ne faudra pas s’étonner de ce que nombre de jeunes enfants et adolescents aujourd’hui livrĂ©s Ă  eux-mĂȘmes, frĂ©quemment dans la toute-puissance, donc dans la violence, soient source d’insĂ©curitĂ© majeure . On disposera d’un beau code pĂ©nal pour y faire face, mais 
 pas de travailleurs sociaux. AprĂšs un dĂ©placement Ă  Mayotte le ministre de la justice avait dĂ©jĂ  annoncĂ© la crĂ©ation Ă  horizon 2024 d’un CEF. On admettra que l’on doive aller plus vite., mais on sait dĂ©jĂ  que ce dĂ©lai sera explosĂ©. Le ministre de l’intĂ©rieur a-t-il les moyens d’accĂ©lĂ©rer le mouvement, voire de lamplifier, sachant comme on l’a dit , que mĂȘme s’il crĂ©ait une demi-douzaine de structures sur la seule ile de Mayotte il ne rĂ©soudrait aucun problĂšme de fond ? On rappellera lĂ  encore que Jacques Chirac en 2002 en promettait un CEF par dĂ©partement avant d’en rabattre singuliĂšrement. En 2017 E. Macron comme F. Hollande en 2012 promettait d’en doubler le nombre dans le cadre de sa campagne Ă©lectorale. 20 ans plus tard Ă  peine une cinquantaine existent qui accueillent entre 8 et 12 jeunes, l’expĂ©rience dĂ©montrant que la structure est elle-mĂȘme menacĂ©e dans son fonctionnement au-dessus de 8. On se doit au passage de pointer deux Ă©lĂ©ments majeurs. D’abord une donnĂ©e financiĂšre le prix de journĂ©e est Ă©levĂ© par jeune accueilli du fait du taux d’encadrement entre 6 Ă  800 euros soit 120 000 euros par jeune pour un sĂ©jour de 6 mois environ. Ensuite on a toujours quelques doutes sur l’efficacitĂ© Ă  long terme de ces structures pour »rĂ©insĂ©rer » des jeunes. Heureusement Ă  ce prix et avec 27 personnels affectĂ©s on obtient quelques rĂ©sultats. Mais on aimerait en savoir plus avec une vraie Ă©tude longitudinale et comparative sur le devenir de ces jeunes pour ne pas se payer de mots. Comment imaginer remonter en quelques mois une pente descendue sur une douzaine d’annĂ©es! MĂȘme Ă  Lourdes certains miracles sont impossibles ! Tout au plus peut-on aider Ă  ces jeunes laissĂ©s Ă  eux-mĂȘmes, souvent nihilistes et qui doutent fondamentalement du monde adulte, Ă  rĂ©tablir un peu d’estime de soi . On peut aussi leur ouvrir des perspectives en Ă©clairant le travail Ă  engager. DĂ©marche ambitieuse pour des travailleurs sociaux. Comment concevoir que l’ArmĂ©e y parviendra avec son fonctionnement de base. Projette-t-on d’ouvrir des camps, Ă  l’amĂ©ricaine, oĂč on veillerait Ă  faire crapahuter des jeunes ? Est-la voie de la socialisation? L’idĂ©e de mobiliser l’ArmĂ©e ne date pas d’aujourd’hui. On se souvient dĂ©jĂ  des propos de SĂ©golĂšne Royal en 2006 pour lui accueillir des jeunes dĂ©linquants 2 voire en 2011-2013 pour intervenir carrĂ©ment en supplĂ©ance de la police dans les quartiers » de Marseille relayant une autre Ă©lue de gauche , la sĂ©natrice Samia Ghali. Et puis il y a dĂ©jĂ  eu des dĂ©marches en ce sens. En 1982-1984 dans le dĂ©marrage des OpĂ©ration d’étĂ© aujourd’hui appelĂ©es Ville, vie, Vacances nous avions mobilisĂ©, entre autres compĂ©tences techniques, des centres de formation de l’ArmĂ©e pour accompagner en toute sĂ©curitĂ© des jeunes prĂ©dĂ©linquants sur des activitĂ©s Ă  risque les amenant Ă  se dĂ©passer plongĂ©e, moto, escalade, saut en parachute, mais aussi Ă  compter sur les adultes pour les protĂ©ger . La dĂ©marche des EPIDES et des Ecoles de la Seconde chance qui accueillent des jeunes de plus de 16 ans dĂ©linquants s’appuie aussi sur un encadrement militaire accentuĂ©. Reste que ce n’est pas l’institution ArmĂ©e qui est mobilisĂ©e en tant que telle mais des citoyens ayant la culture militaire comme on fait ailleurs appel Ă  des policiers actifs ou retraitĂ©s dans l’Aude sous l’égide de Bruno Pommard, ancien responsable du RAID ou Ă  des polytechniciens en Bretagne. Dans les OpĂ©rations d’étĂ© ce furent encore des pĂ©cheurs de l’Ile de RĂ© ou des paysans. En quelque sorte on fait appel Ă  des militaires dĂ©tachĂ©s dans des structures civiles comme le faisait depuis 1996 – l’amiral Brac de la PerriĂšre jusqu’en 2004 oĂč le ministĂšre de la dĂ©fense – RPR – a refusĂ© Ă  JET de lui maintenir les facilitĂ©s accordĂ©es jusque-lĂ . Dans toutes ces initiatives ponctuelles il faut voir une dĂ©marche citoyenne dĂ©veloppĂ©e avec un rĂ©el succĂšs qui mĂ©riterait d’ĂȘtre consacrĂ©e, mais soyons clairs l’ArmĂ©e, pas plus que la police, n’est pas habilitĂ©e dans la protection de l’enfance ! Quel est l’enjeu ? Il ne s’agit pas de mater des jeunes en conflit avec la loi par une vie Ă  la dure en leur montrant qu’il y a plus fort qu’eux, mais de les accompagner, de gagner leur confiance en mobilisant des hommes et des femmes qui partagent du temps de vie ou un projet. Ce dont des jeunes manquent c’est bien d’adultes de rĂ©fĂ©rence en lesquels s’identifier. Ils en ont gĂ©nĂ©ralement Ă©tĂ© privĂ©s trĂšs tĂŽt , quand pour certains n’en ont jamais eu. Reste donc Ă  M. Darmanin Ă  assumer ses annonces et Ă  prĂ©ciser ses objectifs. Il pourrait se rĂ©fĂ©rer au rapport armĂ©es justice remis par la Mission d’appui Ă  un partenariat Justice ArmĂ©es rĂ©unissant des Inspecteurs gĂ©nĂ©raux des ArmĂ©es et la PJJ. Ce travail avance des pistes plus raisonnables et rĂ©alistes comme la crĂ©ation dune rĂ©serve de la PJJ dans laquelle serait admis d’anciens militaires mobilisables par les Ă©quipes de la PJJ, multiplication des stages au sein de l’armĂ©e, etc. on n’hĂ©site pas Ă  promouvoir ce qui aurait susciter voici deux dĂ©cennies un mouvement de grĂšve au sein de la PJJ – Ă  »promouvoir une mĂ©thode d’encadrement d’inspiration ou de culture militaire ». Mais on n’en est pas Ă  suggĂ©rer de confier des jeunes Ă  l’ArmĂ©e ! Il est certain que des jeunes peuvent ĂȘtre violents, voire extrĂȘmement dangereux. Il est hors de question de nier cet Ă©tat de fait. Les centres Ă©ducatifs fermĂ©s ont Ă©tĂ© créés en 2002 pour y faire face quand la prison ne s’impose pas. MĂȘme si la dĂ©linquance juvĂ©nile depuis quelques annĂ©es dĂ©croit un part non nĂ©gligeable s’accompagne de faits de violence, y compris de violence graves. On se doit de rĂ©agir sinon de prĂ©venir. Pour autant autrement que par des mouvements de jugulaires. Tout simplement on est choquĂ© devant l’image stigmatisante renvoyĂ©e des Ultramarins pour lesquels le ministre entend spĂ©cialement faire appel Ă  larmĂ©e ils sont justes bons Ă  ce qu’on leur envoie l’ArmĂ©e pour juguler leurs enfants ? Un relent de colonialisme ? Une nouvelle fois le ministre de l’intĂ©rieur n’est-il pas allĂ© trop vite aprĂšs son dĂ©placement Ă  Mayotte ? Il tombe dans le camp sĂ©curitaire Ă  courte vue quand des projets plus ambitieux et pertinents sont sur table. La facilitĂ© et l’effet d’annonce! L’ancien temps est de retour. * l Le moment est venu, on se rĂ©pĂšte, d’aborder les vrais problĂšmes. Pour cela il faut dĂ©passer les invectives, les procĂšs d’intention et les fausses reprĂ©sentations. Une vraie table-ronde s’impose rĂ©unissant entre les principaux concernĂ©s, les pouvoirs publics d’État et territoriaux, les professionnels et leurs institutions, les reprĂ©sentants de la sociĂ©tĂ© civile. Bref, un vĂ©ritable accord Etat-collectivitĂ©s territoriales doit ĂȘtre recherchĂ©, adossĂ© Ă  l’expertise des professionnels et des gens de terrain. D’entrĂ©e de jeu il est clair que l’on devra traiter de pair deux problĂšmes 1 rĂ©pondre aux jeunes actuellement dĂ©linquants et donc au problĂšme de sĂ©curitĂ© Ă  court et moyen terme ; 2 s’attacher Ă  travers une politique de gestion de l’ordre public Ă  court terme Ă  ce que de nouveaux jeunes ne deviennent pas dĂ©linquants. On le rĂ©pĂšte une nouvelle fois ces deux efforts doivent ĂȘtre dĂ©ployĂ©s dans le mĂȘme temps l’un crĂ©dibilisant l’autre. La mobilisation doit ĂȘtre gĂ©nĂ©rale. Des services sociaux de proximitĂ© en allant jusqu’au suivi concret de jeunes dĂ©jĂ  en difficultĂ©. Pour cela il faut des personnels en nombre et qualifiĂ©s. La tĂąche est ardue pour les trouver et implique lĂ  encore un effort en profondeur qui n’est possible que par une singuliĂšre revalorisation des professions sociales revalorisation de leurs conditions de travail et de leur rĂ©munĂ©ration, mais aussi rĂ©habilitation de leur efficacitĂ© sociale dans le discours public quand eux-mĂȘmes doutent de leur impact . On doit aussi s’efforcer de mobiliser des citoyens dans des dĂ©marches d’accompagnement de jeunes, pour partager des temps de vie authentiques avec eux car tous ces jeunes manquent d’adultes de rĂ©fĂ©rence, et souvent d’hommes. On a vu que c’était possible. Quittons l’expĂ©rience pour pratiquer cette dĂ©marche Ă  grande Ă©chelle. Encore faut-il aussi s’attaquer aux problĂšmes de fond les conditions de vie souvent indignes des familles dont sont issus ces enfants – comment escamoter la pauvretĂ© et le dĂ©nuement ?- , trop souvent absence de scolarisation et de soins adaptĂ©s, et surtout manque de perspectives positives. Comment nĂ©gliger comme Ă  Mayotte l’immigration sauvage ? 3 On voit combien on est loin de l’approche en reflexe du ministre de l’intĂ©rieur fidĂšle Ă  ses prĂ©dĂ©cesseurs certes – conf. le JP ChevĂšnement de 1989 – , soucieux de rĂ©pondre aux problĂšmes d’insĂ©curitĂ© au quotidien, tombant comme ses prĂ©dĂ©cesseurs dans la rĂ©ponse simpliste et dĂ©magogique . Le ministre encore rĂ©cemment maire de Tourcoing ne peut pas ne pas ignorer ces rĂ©alitĂ©s sociales! Il est temps de renoncer Ă  des rĂ©ponses simplistes et institutionnelles sur un sujet aussi complexe et humain. C’est l’intĂ©rĂȘt de chacun pour Ă©viter des drames, des vies brisĂ©es de victimes ou de jeunes, mais aussi dans l’intĂ©rĂȘt collectif pour assurer la paix intĂ©rieure quand nous avons tant et tant de problĂšmes majeurs Ă  traiter par ailleurs. 1 Notamment le rapport du sĂ©nateur Lecerf 2011 2 Billet 183 sur ce blog 3 On lira avec intĂ©rĂȘt le billet reproduit ci-dessous de Maxime Zennou, responsable du Secteur jeunesse au sein du Groupe SOS et animateur du rĂ©seau Ultramarin du social Faut il confier la prise en charge des mineurs dĂ©linquants aux ArmĂ©es Ă  Mayotte ou ailleurs ? L’idĂ©e peut sĂ©duire les populations en attente lĂ©gitime de sĂ©curitĂ©. La rĂ©alisation est plus alĂ©atoire qu’il n’y parait. Avant d’annoncer une action publique supposĂ©ment nouvelle, il est judicieux d’analyser les causes structurelles et pluri factorielles de la dĂ©linquance, de les traiter et d’évaluer les politiques publiques dĂ©jĂ  Ă  l’Ɠuvre avant de promouvoir, comme si on allait faire table rase, une rĂ©ponse aux effets magiques. Rien de tel dans la rĂ©alitĂ©. Les causes de la dĂ©linquance sont multiples et prospĂšrent sur le terreau de l’extrĂȘme pauvretĂ©, d’une dĂ©mographie galopante, de conditions de vie indignes dans lesquelles les droits humains fondamentaux ne sont pas respectĂ©s. On ne citera que le droit Ă  l’éducation et par exemple la non scolarisation de milliers d’enfants dont on vous laisse imaginer les effets chez des enfants et des adolescents tĂŽt en perdition. Concernant la sollicitation de nos ArmĂ©es, le sujet n’est pas nouveau. Mais Ă©vitons la confusion. Aux uns la mission d’assurer la dĂ©fense nationale, Ă  toute la sociĂ©tĂ© civile, aux familles et aux pouvoirs publics d’assurer les missions d’éducation parentale, nationale ou spĂ©cialisĂ©e. Notre pays Ă  la chance de disposer d’un large dispositif de protection de l’enfance et de protection judiciaire de la jeunesse dont les missions doivent ĂȘtre confortĂ©es et les moyens renforcĂ©s en particulier en territoire ultramarin. A Mayotte, les moyens et la technicitĂ© se dĂ©veloppent peu Ă  peu. Mais Ă  l’image de toutes les politiques publiques Ă  Mayotte, le volume des rĂ©ponses n’est pas ajustĂ© Ă  l’ampleur exponentielle des problĂ©matiques. Les collaborations ArmĂ©es-justice viennent Ă  peine de faire l’objet d’un trĂšs rĂ©cent et remarquable rapport nourrissant une Mission d’appui Ă  un partenariat Justice-ArmĂ©es » conduit conjointement par les deux ministĂšres de rĂ©fĂ©rences. La crĂ©ation de tels centres y est Ă©cartĂ©e pour privilĂ©gier des collaborations plus fines prenant appui sur des rĂ©alisations reconnues comme le RSMA. Les centres de rééducation et de redressement » imaginĂ©s ont Ă©tĂ© testĂ©s sans produire de rĂ©sultats trĂšs probants. Attendons de voir leur nouvelle formulation. Il ne faut jurer de rien. Commençons dĂ©jĂ  sans opposer les politiques entre elles Ă  faire en sorte que chaque enfant et chaque jeune Ă  Mayotte et ailleurs se voit bien proposer, et parfois imposer, une rĂ©ponse d’abord Ă©ducative contenante et ferme si besoin mais toujours bienveillante. Pour finir, nous poursuivons pour ce qui nous concerne notre action au quotidien comme cette sortie en forĂȘt avec les jeunes du centre Ă©ducatif renforcĂ© de LOZERE. Un tel dispositif existe aussi Ă  Mayotte qui accueillera prochainement son centre Ă©ducatif fermĂ©. LĂ  encore pas de rĂ©ponse miraculeuse mais plutĂŽt la recherche constante d’un juste Ă©quilibre des politiques publiques. GROUPE SOS en Outre-mer, pour entreprendre au profit de tous. Bonjour Suite au divorce prononcĂ© le 17 janvier 2022, mon ex mari Ă  un droit de visite et hĂ©bergement un week-end sur deux et la moitiĂ© des vacances scolaires. Le partage de vacances d'Ă©tĂ© se fait par quinzaine, ci joint le detail de notre convention de divorce afin d'ĂȘtre la plus prĂ©cise possible : (hors vacances scolaires, Chaque fin de semaine paire du vendredi Une semaine sur deux et la moitiĂ© des vacances scolaires News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Photos Musique Secrets de tournage Box Office RĂ©compenses Films similaires note moyenne 2,7 1220 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCinĂ© Votre avis sur Une semaine sur deux et la moitiĂ© des vacances scolaires ? 266 critiques spectateurs 5 56 critiques 4 75 critiques 3 24 critiques 2 65 critiques 1 24 critiques 0 22 critiques Trier par Critiques les plus rĂ©centes Critiques les plus utiles Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnĂ©s Il s'agit vraiment d'un trĂšs bon film "dans le genre", Ă©videmment, il faut aimer la comĂ©die française!Moi j'adore, c'est une comĂ©die certes, mais pleine de justesse, des acteurs Ă  fond dans leurs personnages sans surjouer... Ça change des comĂ©dies amĂ©ricaines "lourdasse".On rigole de bon coeur, et on ne voit pas le temps passer. C'est sympa c'est mignon ça m'a l'air sincĂšre... Un petit film dont l'ambition n'est pas Ă  la hauteur du rĂ©sultat. Bernard Campan agace toujours, dans tous les films il force toujours autant sur le regard de chien battu... Les ados sont plus que mĂ©diocre mais il faut dire que les dialogues niais n'aident pas au rĂ©alisme des choses, les clichĂ©s faisant bonne figure. Pourtant on sort du film avec une assez bonne opinion, malgrĂ© tout le montage forme un ensemble cohĂ©rent avec de joli moment mais c'est bien peu... Le thĂšme du film n' arien de nouveau il fallait donc oser plus pour faire la diffĂ©rence. Une premiere partie de film sympa avec quelques bonnes repliques mais la deuxieme est un peu longue et la fin un peu mievre. j'attendais beaucoup de ce film mes j'ai Ă©tĂ© trĂšs déçu certaine scĂ©nes sont un peu vides il manque cruĂ©llement de comedie dans le film 4 Ă©toiles pour un film qui traite d'un sujet d'actualitĂ© assez bien... ce qui lui vaut des mauvaises critiques de la part de la presse...Un bon jeu d'acteur est d'ailleurs Ă  noter C'est drĂŽle, c'est tendre mais d'une vraie tendresse, jamais lourde. Beaucoup de gens vont se retrouver dans cette famille Ă©clatĂ©e, les essais et recompositions qui s'en suivent, l'entrĂ©e dans l'adolescence et les premiers Ă©mois amoureux de l'ainĂ©e. Bernard Campan trĂšs bien comme toujours. Vraiment ces "ex-inconnus", quels talents ! Une comĂ©die douce-amĂšre sur le divorce et ses consĂ©quences au sein de la famille puis des familles recomposĂ©es mais aussi sur le passage de l'enfance Ă  l'adolescence. De vĂ©ritables pĂ©pites dans les dialogues, notamment avec le plus jeune fils Ă©colo! TrĂšs bonnes interprĂ©tations du quatuor adultes-enfants B. Campan toujours aussi Ă  l'aise dans les rĂŽles parfois tragiques, M. Seigner aussi vraie dans les rĂŽles de grande gueule pourtant fragile, une mention particuliĂšre aux enfants dont B. Chabert. Rires et Ă©motions sont au RDV. Un trĂšs bon moment donc fortement conseillĂ©. Bon film bonne interprĂ©tation des acteurs, on en sort rĂ©jouit. Un trĂšs bon film bien franchouillard, mĂ©lant Ă  la fois l'humour et la sensibilitĂ©, en evoquant la difficultĂ© des enfants dont les parents sont sĂ©parĂ©s Les personnages sont trĂšs prenants grĂące Ă  un trĂšs bon jeu d'acteur, autant des deux tenors que des plus voir et Ă  revoir en famille, entre amis, en amoureux etc. Nous sommes allĂ©s voir par hasard "Une semaine sur deux". Nous sommes encore sous le charme de cette chronique familiale Ă©mouvante et trĂšs drĂŽle. Les personnages sont trĂšs attachants, Mathilde Seigner est trĂšs convaincante dans son rĂŽle de maman rejetĂ©e par sa fille, Bernard Campan est d'une grande justesse et la palme revient aux enfants qui sont absolument formidables. La salle rit et applaudit. On s'est rĂ©galĂ©s ! Foncez voir ce petit bijou d'humanitĂ© et d'humour ! TrĂšs bon film avec un bon scĂ©nario et une bonne interprĂ©tation remarquable des acteurs, notamment la jeune actrice qui joue magistralement bien. A noter aussi une bonne bande originale avec des morceaux bien choisis. Film trĂšs moyen. Les acteurs sont excellents mais l'histoire est d'un banal affligeant. C'est du dĂ©jĂ  vu et revu. Un film pour les ados seulement Ă  mon avis. micoulinette. Mode d'emploi pour ceux qui vont divorcer,ceux qui vivent dĂ©jĂ  la situation n'apprendront rien. Joli film sans prĂ©tention. Je ne comprends pas les critiques 1Ă©toile il ne faut pas abuser! Ce n'est pas un chef d'oeuvre d'originalitĂ© mais on ne s'ennuit pas, on sourit. Film trĂšs Ă©mouvant, histoire touchante, la jeune actrice Bertille Chabert est "EXTRAORDINAIRE", une vrai pro, Vraiment une cariĂšre d'actrice trĂšs prometteuse..... Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse . 477 31 150 196 308 377 489 51

jaf moitié des vacances scolaires été 2022